Chère copine, tu as changé ma vie…

Publié le par Clochard

Chère copine, tu as changé ma vie…

 

Depuis que je t’ai rencontré, tu as changé une part de ma vie,

Certains points de repères ont changé, tu en fais partie ;

 

Je te confie tant de choses que je n’ai jamais livrées à ma famille,

Chez moi, ils ne comprennent pas toutes ces choses de filles ;

 

Tu m’aides avec tes petits conseils qui me rendent  forte,

Tu es dans mon cœur, à chaque fois avant que je ne sorte ;

 

Cependant, pour mes parents ça ne leur plaît pas trop,

Je parle parfois et souvent de toi, je te place très haut ;

 

Mais en y réfléchissant bien, tu m’as fait perdre la raison,

A cause de tes idées, j’ai monté sur ma mère, le ton ;

 

Progressivement, te fréquenter a remis en cause mon éducation,

Tout ce que m’ont inculqué mes parents, qui est ma protection ;

 

Quand je te parle de Dieu, de ma foi, de ma religion,

Tu tournes durement le dos, de cela tu fais abstraction ;

 

Chère copine, tu ne m’aimes pas, tu n’en fais qu’à ta tête,

Avant toi, je ne connaissais pas la cigarette ;

 

L’Islam nous enseigne l’obéissance aux parents, ceci est la piété,

Toi tu me remplis le cerveau en me parlant de liberté et de majorité ;

 

Tu me dis qu’en France on est libre, on fait ce que l’on veut,

Mais saches que ma famille ne m’a jamais enchaîné, je vais en tout lieu ;

 

En réalité, tu ne m’aimes que parce que tu m’as trouvé douce de caractère,

Tu as trouvé face à toi, qu’une amie, qui ne sache faire que se taire ;

 

A tes côtés, avec du recul, non je ne me sens pas bien

Tu as une emprise sur moi, qui m’empêche de faire avec ma foi le lien ;

 

Chère copine, saches que désormais j’ai ouvert les yeux,

Ma religion, ma foi, l’Islam est pour moi ce qu’il y a de mieux ;

 

Tes sourires, tes bisous, tes douces paroles n’y pourront rien, crois moi,

Tu as commencé par détériorés mes rapports avec maman et papa ;

 

De mes frères et sœurs j’étais très proche,

Aujourd’hui par ta faute, ils me font des reproches ;

 

Pire que cela encore, tu m’as séparé d’Allah et de Ses lois,

Tu as chamboulé ma vie, sur ma foi, tu as mis une croix ;

 

Une véritable amie, ça ne pousse pas au désordre dans la maison,

Une véritable amie, t’incite et te pousse à protéger ton cocon ;

 

Mon équilibre, c’est Allah, mon père et ma mère,

Jamais je n’ai entendu de toi me parler des cinq prières ;

 

Mon équilibre, c’est mon frère, ma sœur,

Ce sont eux mon véritable bonheur ;

 

Tu sais, lis moi attentivement, je vais te dire un mot très important,

Chez nous on écoute le Prophète, nous sommes Musulmans ;

 

Le Prophète bien aimé, insiste sur la fréquentation,

Il nous met en garde contre celui qui dégage l’odeur du forgeron ;

 

Il nous enseigne de choisir celui et celle qui adore Celui qui n’est qu’Un,

Son odeur et ses paroles sont bonnes, à l’image du vendeur de parfum ;

 

Chère copine, tu as soit l’odeur du forgeron, soit celle d’une magnifique parfumerie,

Saches que ma décision est prise, je vais fréquenter l’Islam, c’est le chemin à suivre dans cette vie.

 

Petit frère, petite sœur, écoutes moi quand ton grand frère te parle. Ecoutes moi attentivement, ce que je vais te dire, je le tiens des gens qui m’ont précédés, qui le tiennent eux-mêmes des gens qui les ont précédés…

 

La fréquentation mon petit frère, ma petite sœur, c’est ce qui va déterminer ta foi, ton rapport avec ta religion quand tu seras adulte. Petit frère, petite sœur que j’aime, sache que c’est à ton age que beaucoup de choses se jouent. Tu es Musulman, tu es une belle Musulmane, fort et forte, intelligent et intelligente, doux et douce, beau et belle… mais surtout en priorité, un Musulman ça obéit à Allah, ça obéit à ses parents.

 

On ne prend pas pour copain – copine, quelqu’un qui va te changer toute l’éducation que tes parents t’ont enseigné. Le Prophète nous as appris à obéir aux parents, nos parents nous aiment et nous protègent.

 

Hadith du forgeron :

 

Selon Abou Moussa, l’Envoyé de Dieu a dit : « La comparaison entre un ami vertueux et un ami malfaisant est identique à celle qui existe entre un marchand de parfum et un soufflet de forgeron. Du parfumeur tu ne pourras qu’acheter du parfum ou en respirer les senteurs, tandis qu’avec le soufflet du forgeron, soit il te brûlera le corps et les vêtements, soit tu ne sentiras qu’une odeur nauséabonde. » (rapporté par Bukhari et Muslim)

 

Notre corps a beaucoup de valeurs auprès d’Allah, il n’est pas gratuit. La suite dans le prochain épisode…

Publié dans Poèmes

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